L’irrigation est responsable d’une énorme quantité de produits (250 millions d’hectares) et couvre environ 15 à 16 % de la superficie totale des terres. Les terres irriguées produisent jusqu’à 1/3 de tous les produits agricoles, 2x plus que les terres arables non irriguées. Parce que les besoins en eau sont plus faibles dans les zones sèches, l’irrigation apportera un grand soulagement, en raison de l’abondance de la chaleur solaire, les conditions d’une agriculture pas trop stable sont masquées.
La ceinture aride est une région qui s’étend en ligne presque droite de la côte méditerranéenne à l’océan Pacifique, en passant par l’Afrique du Nord, l’Iran et le Pakistan. Historiquement, il a été très difficile de cultiver certaines cultures dans cette zone qui dépend principalement des précipitations ou de l’irrigation pour l’eau. Le facteur limitant ici est d’environ 200 mm de pluie par an pour les céréales comme le blé ou le maïs. Dans les zones d’agriculture commerciale, la limite inférieure des cultures pluviales est déterminée par l’isohyète 500 mm (ou ligne pluviométrique).
L’irrigation élimine également le manque d’humidité saisonnier, ce qui signifie qu’elle peut être d’une grande aide pour les pays qui ont des régimes de pluie inégaux. Ceci est particulièrement important pour l’Asie du Sud où la saison de la mousson fournit facilement de l’eau pour les cultures. Par exemple, le Bangladesh reçoit 1 500 à 3 500 mm de précipitations chaque année et le sol est souvent asséché pendant l’hiver pour diverses raisons. Ce n’est pas uniquement à cause du manque de nuages dans le ciel – il y a d’autres raisons pour lesquelles il est sec. Compte tenu des niveaux de température et d’humidité souhaitables de l’Asie du Sud, l’irrigation qui y est pratiquée vise à obtenir deux à trois récoltes par an sur le même champ, c’est-à-dire à fournir une végétation continue tout au long de l’année. Par ailleurs, un paradoxe du sous-continent réside dans le fait que des régions qui ont généralement des taux d’humidité plus élevés, comme observé au Bangladesh, il est utile non seulement en saison sèche mais aussi en saison des pluies car la variabilité des pluies a un fort effet sur les cultures. Ces données s’appliquent également au riz – la culture de l’alimentation principale et cultivée sur des terres irriguées. Compte tenu des données à long terme, il est possible de doubler le rendement total.
Dans les économies agricoles avec des marchés plus développés, l’eau entraîne généralement le déplacement des cultures moins précieuses des champs avec des champs plus rentables et bientôt relativement humides. D’un autre côté, lorsqu’un pays dispose d’une grande quantité de capitaux, cela conduit à une intensification des terres et à une production plus élevée. Ceci est plus répandu dans les pays moins développés (parce qu’ils ont plus de terres), mais se produit également dans les pays développés. L’introduction de l’irrigation en Asie du Sud a entraîné une augmentation de la part des cultures industrielles à haute valeur ajoutée (canne à sucre, coton), mais elles n’ont pas pu complètement supplanter les céréales.
Au stade actuel, dans certaines régions du monde, il est devenu clair qu’il n’y a pas assez d’eau, ce n’est donc pas un problème d’espace terrestre mais un problème d’eau elle-même. On observe également une tendance à la diminution des terres arables irriguées par habitant de la planète. Cela est principalement dû aux climats plus arides, mais cela pourrait être dangereux pour plusieurs pays situés dans ces régions. Il est regrettable que les conflits liés à l’eau s’aggravent dans le monde. Le problème est ressenti le plus intensément au Moyen-Orient et remonte à une longue histoire de distribution inéquitable.
De ce qui a été dit précédemment, on peut voir qu’à l’heure actuelle, l’espérance doit être associée à l’utilisation rationnelle des ressources agro-naturelles qu’implique l’exploitation, et non à leur augmentation quantitative. Le problème des agriculteurs qui gaspillent de grandes quantités d’eau devient plus urgent. Il est possible que cette trajectoire aide à lisser la concurrence liée à l’eau et fonctionne mieux pour d’autres parties de l’économie, mais au-dessus du texte de sortie : Il deviendra plus facile de travailler sur la crise de l’eau en minimisant la concurrence économique et en tenant compte d’autres industries . Selon une estimation alarmante, jusqu’à 50 % des terres irriguées ont été endommagées par la salinisation et l’engorgement, qui sont devenus un problème majeur pour les cultures arables.
L’Asie centrale est souvent confrontée à ce type de situation. De nombreuses terres salines ont été abandonnées à un moment donné afin de rétablir la productivité, mais il est maintenant plus probable que les propriétaires fonciers se résignent au fait qu’elles ne pourront plus jamais être rendues productives. D’où la question très délicate de la préservation d’un vaste système de gestion mouvante. Cependant, une telle voie n’est pas prometteuse avec la demande de ressources foncières si élevée. La compensation des pertes par la construction de nouvelles irrigations devenant de moins en moins efficace, il est probable que les installations les plus rentables dans votre région et dans le monde auront déjà été construites.
C’est un gros problème dans les zones humides du monde, avec jusqu’à 50 % de l’eau ajoutée aux terres irriguées qui disparaît avant d’arriver aux cultures.
L’état des terres irriguées s’est détérioré et s’épuise rapidement. Il est maintenant temps d’accorder plus d’attention au développement des aspects économiques de ces ressources. Certaines des nouvelles méthodes d’irrigation les plus prometteuses sont développées et introduites à grande échelle. Ceux-ci incluent des arroseurs à mouvement vers l’avant ou circulaires. Pour économiser de l’argent, l’irrigation goutte à goutte peut être mise en œuvre dans la plupart des zones de votre propriété. Les gouttes libèrent une quantité dosée d’eau directement dans le système racinaire, ce qui est extrêmement économique. Le cas le plus notable étant la méthode du goutte à goutte car l’eau est taxée à un faible volume pendant une période prolongée. Cependant, le coût de l’équipement et des autres investissements dans l’irrigation au goutte-à-goutte est environ 6 fois plus élevé que pour des dépenses similaires pour d’autres types d’irrigation de surface. Par conséquent, les centres d’origine sont étroitement liés aux régions les plus avancées où l’agriculture intensive avec spécialisation dans la production de fruits et de vin est courante. Conseils aux villages des pays en voie de développement. Augmenter l’investissement initial est presque impossible, mais si les gens vivent dans une zone sèche avec peu de terres et recherchent des moyens progressifs d’irriguer leur ferme, cela pourrait être souhaitable: cultiver plus de terres avec des ressources limitées est possible avec ces systèmes. Vous pouvez économiser sur un budget temporaire et permanent, ainsi qu’optimiser votre consommation d’eau. Ils permettent de maximiser les profits tout en minimisant l’impact sur l’environnement.